«La fin de l’année approchant, les possibilités de réduire son impôt sur le revenu s’amenuisent (…). Reste toutefois une solution : les SCPI fiscales. Elles permettent de se constituer un patrimoine immobilier tout en bénéficiant d’avantages fiscaux», rappelle Jérémy Schorr, directeur commercial de Primaliance. Des véhicules accessibles à partir de quelques milliers d’euros d’investissement.
Il en existe cinq sur le marché, répartis entre quatre dispositifs fiscaux. Selon le dispositif choisi, le gain fiscal peut varier de 12 à 35 %. Cette année, deux SCPI de déficit foncier sont disponibles:Renovalys 7 (Advenis REIM) permet de déduire 43 % de son investissement en travaux de ses revenus fonciers et/ou revenus globaux sur une année. Urban Pierre 5 (Urban Premium) offre une déduction de 54 % de l’investissement répartie sur deux années. Kyaneos Denormandie 2 (Kyaneos AM) vise, comme son nom l’indique, le dispositif Denormandie et permet une réduction d’impôt de 21 % sur douze ans, avec un rendement cible de 4 %, donc très proche du TDVM moyen des SCPI d’immobilier d’entreprise.
Côté loi Pinel, la SCPI Urban Vitalim 3 (Urban Premium) fera l’acquisition d’un parc immobilier ancien à rénover en centre-ville. Enfin, la SCPI Urban Prestigimmo 5 (Urban Premium) applique la défiscalisation Malraux et vise un ratio de travaux de 65 % afin de générer pour l’investisseur une économie d’impôt de 18 % de son investissement.
Des réductions d’impôts conséquentes pour les contribuables dont l’Impôt sur le revenu est élevé, avec l’avantage d’une défiscalisation effective dès l’année de souscription, même si le bien immobilier n’est pas encore livré.